Échos de la Fête de l’Assomption 2024

Samedi 7 septembre 2024

Échos de la Fête de l’Assomption 2024

Pardon de Notre-Dame de Lorette, avec une assistance assez importante et sous un beau soleil. Pardon présidé par le Père Yves POILVET. Joseph Martin

Le 15 août est le jour du pardon de Notre Dame de La Ferrière.

La cérémonie religieuse a débuté à la fontaine St Laurent, l’eau puisée a été bénite par le Père Jean-Jacques qui en a aspergé l’assemblée. Nous nous sommes rendus à l’église, environ 180 pèlerins ont participé à l’eucharistie présidée par le Père Jean-Jacques accompagné du Père Paul Lorand et de Thomas, servant d’autel. La chorale, menée par Colette, Stéphanie à la guitare, Elisa et Anne à l’orgue ainsi que les Sonneurs du Cambout ont participé à l’animation. Une procession nous a conduits au minerai sur les traces de Louis Grignon de Montfort qui y prêchait. Nous nous sommes ensuite retrouvés à la salle polyvalente pour le pot de l’amitié. L’association Notre-Dame de La Ferrière, soucieuse de faire perdurer ce traditionnel pardon, avait préparé un repas à emporter ou à consommer sur place dans une grande convivialité. Les membres de l’association Notre-Dame de La Ferrière

Présidée par Mgr Bernard Podvin, vicaire épiscopal du diocèse de Lille et ancien porte-parole des évêques de France, près de 2 500 fidèles ont assisté à la fête de l’Assomption, au Sanctuaire Marial diocésain Notre-Dame de Toute-Aide à Querrien. Le père Jean Mabundi, recteur du Sanctuaire, a souhaité la bienvenue au vicaire épiscopal au nom des fidèles, de Marie et Liliane, laïques en mission ecclésiale, de Bertrand, employé du diocèse, et de l’association des Amis du Sanctuaire. Lors de son homélie Mgr Bernard Podvin nous à invités à « regarder Marie qui va à l’essentiel ». « Ici, à Querrien, tout a pris source dans l’infiniment petit : Jeanne Courtel est libérée par la Belle Dame et s’éveille à l’ouïe et à la parole. Ses premiers mots sont pour établir sa pauvreté et sa confiance. » Il a aussi évoqué l’histoire de Magda Hollander, déportée à Auschwitz et décédée en novembre dernier à Rennes, qui avait reçu, avec quatre petits bouts de pain donnés par une autre détenue, l’injonction de vivre. Le monde moderne va trop vite, on n’écoute pas jusqu’au bout. Notre société vit des moments difficiles, avec beaucoup de fractures. Plus que jamais, nous avons besoin les uns des autres. »… Propos recueillis par Sr 0dile

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